Une réflexion au sujet de « Revue Dire »

  1. Mickael content de voir que ton travail avance dans une direction qui
    a l’air en plus fascinante. Je vais regarder ton article avec attention.
    Quels sont les outils utilisés pour modéliser ces naines brunes?
    Bonne continuation

  2. Très bon article, j’ai adoré.
    Les bactériocines semblent avoir un grand potentiel industriel. J’ai bien hâte de voir ce qu’ils en feront.
    Merci de nous avoir éclairé sur un sujet peu connu, mais très intéressant.
    Peut-être aurons-nous un article sur les bactériophages? Si l’on se fit au financement, ils ont la côte ses temps si.

  3. En plus d’être bien référencé et accessible, j’ai trouvé cet article intéressant et très bien écrit.
    Je ne connaissais pas le rôle des bactériocines dans la lutte contre les infections bactériennes, pourtant il semble que cela soit une des voies pour faire face à la résistance aux antibiotiques! Merci à l’auteur de nous faire découvrir ou approfondir nos connaissances sur cette famille de protéines aux effets étonnants.

  4. C’est un sujet fascinant dont les retombées potentielles sont énormes. La recherche dans ce domaine nous apportera sans aucun doute de nouveaux moyens de combattre les infections.

    Bravo pour cet excellent article de vulgarisation!

  5. Non seulement, tu as réussi à capter mon intérêt tout au long de l’article avec le tumulte des mots semi-scientifique mais j’ai réussi à comprendre le tout et faire les nuances. Bravo Mat! tu as su m’ouvrir une porte dans le monde des sciences que je ne dirais pas non pour en lire d’autres.

  6. Bonjour Mr. Banville,

    un petit mot pour vous dire que votre texte est extrêmement pertinent et qu’il m’a inspiré lors de moments de doute.
    Annick, maman d’Alice, 7 ans, autiste.

  7. Bonjour,

    L’article semble incomplet, il se termine en plein milieu d’une phrase: « En comprenant mieux la neurobiologie de cette maladie, les scientifiques pourront orienter leurs recherches sur la synthèse de nouveaux médicaments qui cibleront des molécules »

  8. bonjour, je suis Dominique Riel et j’ai trouvé fort intéressant ce document puisque j’ai appris bien des choses. Après 25 années, je récupère emcore ela vision dans mon champs résiduel gauche et je vais relativement bien si ce n’est que l’usure commence à se faire sentir. Arthrose! Merci de votre curiosité et de votre écoute. bien à vous, Dominique Riel

  9. Bravo Catherine Malboeuf-Hurtubise pour votre beau travail !
    Nous avons un point en commun, cet engouement pour La Pleine Conscience auprès des jeunes du primaire…Serait-ce possible d’avoir une rencontre avec vous afin de m’éclairer sur les différents programmes d’intervention (programmes MBSR / MBCT – versus – le programme d’intervention MindUp TM.) ?

  10. Bonjour,

    J’ai rarement lu un article aussi intéressant sur le sujet. Enfin j’y trouve ce qui me parle. Merci pour votre recherche exhaustive, nuancée et fine.

    Je souhaite seulement apporter une mention à la bibliographie où on peut lire WITKINS, alors que c’est plutôt WILKINS. Si jamais vous souhaitez en faire la correction.

  11. Bonjour et merci pour cet article chère Christelle, qui touche une question sensible du droit international des droits de l’homme et plus spécifiquement, celle des defis de la protection de la personne humaine face au développement progressif de la mondialisation économique. L’inégalité que vous semblez decrire entre les victimes et les multinationales peut s’expliquer simplement par l’asymétrie qui caractérise aujourd’hui le pouvoir de l’argent et le pouvoir du droit. Par ailleurs, je pense humblement que le premier et le principal recours que les victimes ont face aux « violations » des droits de l’homme commises par les multinationales reste et demeure l’Etat qui est le premier et le principal garant de la protection des droits de l’homme sur son territoire et qui a ainsi le devoir d’assurer la protection de l’individu face à la multinationale en cas de violation. Le recours à l’Etat offre l’avantage de faire appliquer à la fois le droit étatique en matière de droits de l’homme qui est contraignant et ses obligations découlant des traités et conventions internationales des droits de l’homme, auxquels il est partie. De plus, le recours à l’Etat offre plus de facilités en matière d’exécution de la decision de justice rendue à la fois en matière civile et pénale que les mécanismes internationaux n’offrent pas toujours.
    Partant, dans le soucis de déconstruire le postulat de la vulnérabilité des victimes faces aux multinationales dans le contentieux des droits de l’homme, il nous semble utile de sensibiliser et d’éduquer l’ensemble des acteurs concernés sur l’importance du recours étatique en cette matière.

  12. Je dois à William Beaty, fondateur du site de science amateur amasci.com de m’avoir appris en 2003 que j’avais été antériorisé sur plusieurs points, de dix-neuf ans (1979) par Giles Henderson, de quinze ans (1983) par C. F. Bohren, H. Paul, R. Fischer et de douze ans (1986) par John G. Cramer, tandis qu’en 1998 tous l’ignoraient à l’IN2P3, à l’université Lyon 1.

    http://www.lulu.com/shop/jacques-lavau/microphysique-quantique-transactionnelle-principes-et-applications/paperback/product-23379366.html

    Sera définitivement disponible le 30 octobre 2017.

    Cordialement,

    Lavau

  13. Article intéressant, qui me confirme dans mes réflexions. Ce qui est intéressant, c’est que cela à aussi des implications dans la religion, par exemple pour la notion de péché dans le christianisme ou la réincarnation dans l’hindouisme. En effet, comment juger quelqu’un, le tenir pour responsable, de quelque chose pour lequel il n’est pas responsable?
    Tout laisse à penser qu’encore une fois, la religion a tord…

  14. Il faut encourager ces programmes et multiplier les actions de prévention afin de limiter grandement les violences physiques ou mentales qui peuvent avoir des conséquences absolument catastrophiques pour l’enfant. Il ne faut jamais prendre une plainte d’un enfant à la légère.

  15. Bonjour,

    Merci pour cet article intéressant.
    Toutefois, vous ne mentionnez à aucun moment la présence ou non de douance dans le cas des talents que vous présentez.
    Est-ce un choix?
    La douance ne fait pas le talent mais peut y contribuer. Il me semble que votre article se prêtait bien à traiter du sujet 🙂 !
    Bonne continuation !

  16. En écho au chapitre de votre article sur « La persécution des femmes », une contribution artistique : plasticienne engagée, j’ai réalisé une oeuvre intitulée « Vera Icona » sur les crimes d’honneur.
    A découvrir : https://1011-art.blogspot.fr/p/vera-icona_5.html
    Mais aussi une oeuvre plus pudique intitulée « Noli me tangere » sur l’inviolabilité du corps de la femme : https://1011-art.blogspot.fr/p/noli-me-tangere.html

    Ou encore une oeuvre sur le sujet des mutilations sexuelles intitulée « Infibulation ».
    Quand l’art permet de parler directement des MGF et d’ouvrir le débat.

    A découvrir : https://1011-art.blogspot.fr/p/blog-page.html

    Ces séries furent exposées dans un centre de planification familiale avec une soirée conférence/débat. Quand l’art permet de parler directement des actes graves et d’ouvrir le débat.

  17. Bravo pour votre article. Nous menons le même combat de protection de l’environnement en Europe. Nous n’avons qu’une seule et même mère à savoir La Planète Terre protégeons là !

  18. C’est pour cette raison que les Éditions Galéace ont conçu la « Trousse à outils volume 2 », ISBN : 978-2-924702-02-4, dans laquelle toutes les erreurs de syntaxe les plus courantes sont présentées, corrigées et justifiées. L’essentiel des règles de la ponctuation y figure également. De plus, chez ce même éditeur, le « Manuel d’apprentissage – Pour comprendre le fonctionnement de la langue », ISBN : 978-2-9812386-1-0, présente et explique ces mêmes erreurs en détail.

  19. Mais je me demande si apprendre à décoder les signes non-verbaux change vraiment le sentiment de menace si l’étudiant(e) qui se sent seul est dans un programme avec beaucoup de compétition et peu de places aux cycles supérieurs… (ex. : psycho)? Savoir décoder les signes non-verbaux change-t-il réellement ce sentiment si elle veut VRAIMENT aller aux cycles supérieurs et qu’elle est réellement en compétition avec l’entièreté de sa grande cohorte? Et qu’en est-il de l’aménagement d’espaces communs qui créent réellement des opportunités pour les étudiant(e)s de différents programmes (avec des personnes qui ne sont pas une menace) de s’entraider, apprendre à se connaître et leur offrir des activités qui leur permettent de combler d’autres besoins? Je sais que plusieurs activités (ex. : activité physique de groupe ou activité de rire) aident réellement à ce que les gens s’ouvrent et se font des ami(e)s ! Et j’imagine que ça doit se faire plus facilement quand l’autre personne n’est pas menace objective. Et l’aménagement d’espace ça peut être plus que de mettre des coussins pis un sofa dans un couloir sans activités. Ça peut être fait en collaboration avec la communauté et les gens impliqués pour offrir des espaces de rencontres et faciliter des activités. Enfin, un espace commun aménagé permettant peut aussi combler d’autres besoins soulignés par l’enquête (ex. : une sieste). Cela est particulièrement important pour les étudiant(e)s qui vivent loin de l’Université. Le manque de sommeil était d’ailleurs un autre problème important.. . C’est pourquoi une pétition a été lancée récemment : https://www.change.org/p/universit%C3%A9-de-montr%C3%A9al-salle-de-sieste-et-relaxation-%C3%A0-l-universit%C3%A9-de-montr%C3%A9al

  20. MERCI. Explications très complètes, très claires et à la portée du profane. Je viens de lire « Le Hussard sur le toit » de Jean Giono. J’ai eu envie de savoir où nous en sommes avec ce fléau qu’est le choléra. Cet article est très utile.

  21. Bonjour,
    Ce message est destiné à Claudia Picard-Morin.
    Après avoir écouté votre entrevue (https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/dessine-moi-un-dimanche/segments/chronique/154317/sommeil-reverie-dormir-medecine-neuroscience-conscience), je J’aimerais avoir l’e-mail de la chercheuse pour parler brièvement de certaines expériences de rêve qui abordent directement son sujet de recherche et qui, je pense, pourraient confirmer une partie de sa recherche.
    Je vous remercie
    Ana-Laura Munoz-Calvo